En ébullition permanente, pour fuir la dictature de l’instant, l’immatérialité des images du marketing aseptisé, l’ennui que génère l’immédiateté, il utilise la technologie de son époque, digitale et artificielle, alternat toiles à l’huile en atelier, dessins à l’encre et à l’aquarelle et muralisme. Il s’adapte pour ne pas dépendre, explore par curiosité plus que par peur de tourner en rond, et se nourrit de l’héritage de mouvements qui le touchent (Constructivisme, Bauhaus) sans quitter son ressenti d’une société duale, des réseaux et de la solitude.
Squizzato évoque la fin d’une époque, l’expiration proche d’une ère d’accumulation à tout va.